BIOGRAPHIE
Fatras, né en 2008, est un groupe rennais estampillé chanson française. Composé de huit musiciens et comédiens professionnels qui côtoient la scène et la rue depuis leurs débuts, le groupe a su se définir une identité propre.
L’univers de Fatras est vaste. Ses compositions sont teintées de rock, de musiques latines, de swing, de jazz manouche et de bien d’autres influences venant des quatre coins du monde. Tous les instrumentistes du groupe étant des musiciens confirmés, la musicalité, le rythme et la mélodie ne sont jamais laissés au hasard. Exigence des notes mais aussi exigence des mots, car Fatras, c’est aussi des textes choisis et de la poésie. Jonglant avec la langue française, les auteurs du groupe donnent une véritable importance au sens et à la qualité de l’écriture.
Avec leur premier opus « Vie de Grenier », en 2008 ils ont écumé de nombreuses scènes avec au compteur plus de 200 dates. En 2012, fort de cette énergie, le groupe sort son deuxième album « Virevoltige ». Heureux du résultat mais loin d’être rassasié, Fatras crée en 2013 son premier spectacle de rue « G.A.S.T.O.N. ». Imaginé à l’origine pour l’espace public, l’équipe met un point d’honneur à l’adapter à la scène et aux cabarets, et donne ainsi plus de 200 représentations. La rencontre du public étranger dès 2010 (Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, République Tchèque) permet au groupe d’acquérir une nouvelle notoriété.
En 2017, au sein de Fatras naît l’envie commune de développer encore un peu plus l’aspect théâtral dans ses spectacles. Avec l’aide de Chtou (Cie Qualité Street), le groupe conçoit « À L’Épreuve des Pavés ! ». Drôle et touchant, c’est un véritable concert et un spectacle de théâtre de rue à part entière. En 2019, suite au départ d’un des membres, Fatras recrute un nouveau comédien (Alec Somoza de la cie Avec des Géraniums). Rompu au théâtre de rue et à ce rapport au public si singulier, son arrivée impose une ré-écriture partielle du spectacle. Le spectacle se bonifie, gagnant en sens, en clarté et en efficacité.
